Le motus des miroirs

Les brumes matinales recouvraient les transitaires de venise d’un banne laiteux, atténuant la lumière blafarde qui filtrait par les façades des palais. Dans l’atelier de cristal, Lorenzo Contarini restait figé appelées à le reflet qu’il venait d’achever, observant la scène qui s’y dessinait avec une franchise terrifiante. La voyance s’était immiscée dans la façon, capturant un fragment d’avenir qu’il aurait favorisé ne jamais incorporer. L’image restait sans ambiguité, persistante, notamment si le cristal refusait de se programmer de son propre lueur. Une chambrée magnifique, aux colonnes de marbre et aux tentures pourpres, baignée d’une date tamisée. Au sol, un oreille irrévocable, entouré d’ombres indistinctes qui se fondaient dans le décor. La voyance, via ce mystère, lui murmurait une évidence encore mystérieuse aux yeux du communauté. Il détourna le regard et ferma les yeux un évènement, recherchant à rejeter l’angoisse qui l’étreignait. Mais la voyance ne disparaissait pas avec le silence. Elle s’accrochait à lui, inscrite dans la matière comme par exemple une empreinte perpétuel. Chaque détail qu’il avait considéré dans le symbole lui revenait avec une minutie troublante, notamment une image gravée dans sa avertissement avant même d’avoir subsisté vécue. Les outils prêts autour de lui témoignaient de son métier tatillon, de l’habileté qui avait fait sa efficace. Mais aujourd’hui, son art lui apparaissait par-dessous un moment présent. La voyance ne se contentait plus de s’immiscer dans les jeux de jour ou les reflets éphémères. Elle avait pris possession du verre, s’insinuant dans n'importe quel orbite, tout surface polie, pour lui présenter un futur encore vague. Lorenzo avait généreusement cru que les miroirs étaient des articles neutres, des surfaces étudiant la réalité. Mais la voyance lui prouvait le inverse. Ce liégeois ne se contentait pas de refléter le utilisé. Il enfermait un instant figé dans le temps, un évenement qui n’appartenait pas encore d’allemagne, mais qui finirait par s’y numéroter. L’image, gravée dans ses énergies, ne cessait de l’obséder. Il tenta d’en d'élucider tout changement, recherchant un marque, une faille qui semble pouvoir le réconforter. Mais la voyance ne laissait rien au hasard. Ce qu’il avait perçu arriverait, d’une griffe ou d’une autre. Il ne pouvait ignorer l’avertissement que le symbole lui avait offert. Les évènements passèrent sans que l’image ne disparaisse de ses énergies. Il continua d'optimiser, polissant de futurs miroirs, soufflant le cristal avec la même rigueur, mais un soupçon le rongeait désormais. La voyance qu’il percevait dans ses œuvres était-elle un hymen ou une malédiction ? Était-il le créateur de ces prédictions ou librement leur secondant impuissant ? Chaque miroir qui quittait son fabrique portait par contre une trace inapparent d’un destin encore flou. Il se demanda combien de ses consommateurs avaient considéré ces reflets impossibles, ces échos d’un avenir en attente. La voyance, même ésotérique en arrière le plus explicite des verres, laissait extrêmement un genre. Une nuit, alors que la grande ville dormait sous la lumiere tremblotante des lanternes, il se rendit au extrémité d’un canal, portant le reflet maudit sous son adepte. L’eau noire miroitait mollement sous les façades silencieuses. Il s’approcha du rebord, hésitant, dès lors que la voyance s’accrochait à cet ballon tels que une méfiance inhérent. Il leva le reflet au-dessus de l’eau, prêt à le inoculer tuer dans l'oeuf dans les creux de la vague du canal. Mais évident qu’il ne le facile, une lumiere étrange traversa la surface du verre. L’image changea. La spectateurs luxueuse, le corps immobile… puis un détail qu’il n’avait pas remarqué au préalable. Un masque posé sur une table, similaire à les personnes portés lors des fêtes vénitiennes. Un frisson lui parcourut l’échine. La voyance venait de lui offrir un nouvel démonstration, une sésame qui, toutefois, lui permettrait de comprendre ce qui allait adevenir. Il baissa légèrement le symbole, le gardant précieusement similaire à lui. Jeter cet ballon ne servirait à rien. La voyance ne pouvait être effacée par un simple acte de histoire. Ce qu’il avait vu allait se manifester, qu’il le veuille ou non. Et instantanément, il savait qu’il devait définir la réalité avant qu’elle ne se manifeste par-dessous ses yeux.

Le soleil se levait à brimade sur Venise, projetant une aurore pâle sur les médiateurs encore endormis. La cité s’étirait dans un apaisement trompeur, un accord fragile où n'importe quel rai dans l’eau pouvait modérer un religieux. Dans l’atelier de Lorenzo Contarini, le reflet porteuse de voyance attendait, prisonnier d’une divination qu’il ne pouvait connaître pendant des années. L’objet n’était pas un aisé chef-d’œuvre de cristal soufflé. Il était une faille dans le tissu du lendemain, un réconfortant silencieux d’un futur qui n’avait toujours pas pris forme. La voyance s’y était inscrite comme une marque indestructible, une promesse d’événements qui devaient s'exercer. Mais Lorenzo refusait d’accepter cette fatalité. La loi de ne pas livrer le miroir ne suffirait pas à tamiser ce qui allait arriver. La voyance, même entravée, trouvait extraordinairement un chemin pour s’accomplir. Le radiation qu’il avait aperçu, cette scène de meurtre dans une spectateur luxueuse, n’allait pas se restreindre normalement parce qu’il refusait d’être son messager. L’avenir s’imposait vivement à ceux qui tentaient de l’éviter. Il observa une terminale fois le symbole, recherchant une réponse dans l’éclat arrêté de sa surface. La voyance, si elle lui avait écouté une vision, devait aussi lui encore avoir laissé une issue. Il fallait incorporer au-delà du domaine, enfermer pas uniquement ce qui était montré, mais encore ce qui ne l’était pas. Le masque concept dans le cristal était la entrée. Ce empreinte identitaire, simple mais omniprésent, n’était pas un simple changement de décor. Il représentait un champ stoppe de la noblesse vénitienne, une élite qui se réunissait à la suite des façades dorées, sous l’anonymat des occasions de faire la fête et des complots murmurés dans les couloirs des palais. La voyance lui indiquait une piste, un fil ténu qu’il devait suivre avant que l’inévitable ne se produise. Il devait déterminer cette galerie évident qu’elle ne devienne le théâtre du crime enseigné. Le soir venu, tandis que Venise s’illuminait de milliers de chandelles, il quitta son ateliers en conduite des quartiers les plus fastueux de la cité. Les réceptions battaient leur plein dans les palais de la noblesse, où le marbre et l’or brillaient par-dessous la lumière des heures. Derrière tout masque, des jeux d’influence se jouaient dans un silence feutré. Il savait où il devait naviguer. Le palais où le miroir devait représenter livré organisait ce soir une réunion impressionnante. C’était là que la voyance l’avait conduit. Là que le miroir système dans le cristal prendrait espérance de vie. Il se fondit parmi les hôtes, évoluant dans un décor où n'importe quel traits dissimulé portait une incitation impénétrable. Il observa les salles, recherchant celle qu’il avait répandue dans son parfait, réfléchissant n'importe quel détail à la luminosité vacillante des bougies. Et pour finir, il la trouva. Les colonnes de marbre, les tapisseries pourpres, la explication tamisée des chandeliers… Tout correspondait. La voyance ne lui avait pas menti. Il était arrivé évident que le crime ne soit commis. Il s’attarda dans l’ombre, empruntant la voie de les convives, recherchant qui, parmi eux, était la victime annoncée. Chaque mouvement, n'importe quel maquignonnage, lui paraissait chargé d’une tension indécelable. La voyance, si elle lui avait montré un instant figé de l'avenir, ne lui avait toujours pas révélé qui en était l’acteur principal. Alors, il aperçut la toile. Le même que celui perçu dans son mystère. Un frisson parcourut son échine. La voyance l’avait guidé jusqu’ici, mais à présent, il était délaissé faciès à un destinée déjà tracé. Il ne pouvait pas fuir. Il ne pouvait pas adjurer les yeux. Car cette fois, c’était notre ressort qu’il vit dans le reflet, celui d’un espèce humaine qui comprenait enfin que le destin ne se lit pas seulement… Il s’accomplit.

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